Auteur : ROUSSEAU Jean Jacques

Titre de l’œuvre : « Les confessions »

Titre du recueil :  « Livre III»

 

Résumé de l’œuvre

Par : epix75@hotmail.com

 

Introduction : Il se trouve chez Madame de Vercellis, et va faire connaissance avec un Abbé savoyard, nommé Monsieur Gaîne. Cette homme va donner à Rousseau l’idée d’honnêteté. Mademoiselle de Breuil est une jeune femme du même age que Rousseau : il est amoureux de cette femme, et va tout faire pour l’approcher, chose qu’il va réussir à faire très maladroitement (il lui donne à boire et renverse tout à coté, c’est l’émotion !). Cette femme ne va jamais faire vraiment attention à Rousseau.

Il va faire un bilan sur sa vie : il n’a pas été heureux dans la conclusion de ces amours. Il va aller cher un Abbé (L’abbé de Gouvon, et pas l’Abbé Cassine !), ce dernier va lui proposer de lui donner des cours de latin. Rousseau se dit « être destiné à rapprendre souvent le latin, et à ne jamais le savoir ». Il va aussi apprendre l’Italien. Les progrès de Rousseau dans ces deux domaines, vont donner satisfaction à l’Abbé. Il va ensuite rencontré des convertis (comme lui l’était), mais il ne va pas s’entendre avec eux, hormis Mussard et Bâcle. Rousseau et Bâcle ne vont plus se quitter, hormis au moment ou Bâcle va retourner à Genève. Bâcle est un garçon amusant, gai.

Rousseau va alors tout abandonner : ces études, son protecteur, son percepteur, et va commencer la vie d’un vrai vagabond. Il part « le cœur saturé de joie », avec son ami Bâcle ( qui n’est pas encore parti pour Genève). Ils ont avec eux « une fontaine de Héron ». Ils sont heureux de voyager, et vont arriver à Chambéri (et non Chambéry, comme actuellement). Rousseau se lasse de la présence de Bâcle à ses côtés, car il veut aller retrouver Mademoiselle de Warens. Bâcle va donc laisser Rousseau à Annecy.

Rousseau va aller voir cette Mademoiselle de Warens, il est heureux car cette femme va l’héberger. Cette femme vit dans une vieille maison, elle ne possède pas de vaisselle d’argent, ni de vin, mais juste « des tasses de faïences qui faisaient du bon café. »

Rousseau va surnommer cette femme « Maman », et cette demoiselle va surnommer Rousseau « Petit ».

Il va alors repartir en Italie, et cette femme est pour lui « la seule femme au monde ». Il va alors s’occuper de divers activités : rédiger ces mémoires, trier des herbes, piller (écraser) des drogues ; il dit avoir perdu de sa passion pour la lecture.

« On dirait que mon cœur et mon esprit n’appartiennent pas au même individu »

« Au lieu de me taire, quand je n’ai rien à dire, j’ai la fureur de vouloir parler »

Mademoiselle de Warens veut faire inscrire Rousseau au séminaire durant quelques temps. C’est monsieur Gros qui va se charger de cela ; mais Rousseau ne va pas aimer celui qui va lui enseigner le latin, M Gros décide donc de lui changer d’éducateur, c’est le jeune Abbé Faucigneron (M. Gâtire) qui va se charger de cette tâche. Rousseau va bien s’entendre avec cette Abbé » (il dit même : « ce n’était pas difficile en comparaison avec l’autre. »), mais cette Abbé qui va devenir Vicaire va avoir un enfant ; cette pratique étant prohibé par l’Eglise, il sera emprisonné.

Rousseau est donc au séminaire, il peut sortir une fois par semaine (il va chez Maman).

Rousseau va raconter une anecdote : « Un de ces jours de permission il va se rendre chez Maman. Juste à côté de la maison de cette femme, se trouve celle des Cordeliers. Or cette maison va prendre feu, et les flammes se dirigent vers la maison de « Maman », tout va être fait pour combattre l’incendie. L ‘Evêque est venu et entame une prière, à ce moment là le vent va tourner, et la maison sera épargné. »

Il va partir de Turin, pour aller vivre à Annecy, mais il est toujours attaché à cette femme (mon attachement pour elle est devenu ma seul passion ).

Un jour, il va aller chez cette femme, et va rencontrer Monsieur Le Maître ; cet homme aime la musique, le vin, il est très sobre. « Maman » l’appelle  « mon petit chat ». M Le Maître va vouloir partir, et Maman va faire tous son possible pour l’aider dans son voyage « elle prit le parti de l’aider en tout ce qui dépendait d’elle »

Il vont passer ensemble 4 ou 5 jours à Belley pour Pâques, puis vont aller à Lyon.

Rousseau repart à Annecy, mais à son retour, il ne trouve pas « Maman » : elle est parti pour Paris !

 

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