Auteur : ROUSSEAU
Jean Jacques
Titre de l’œuvre :
« Les confessions »
Titre du recueil :
« Livre III»
Introduction : Il se trouve chez Madame de Vercellis, et
va faire connaissance avec un Abbé savoyard, nommé Monsieur Gaîne. Cette homme
va donner à Rousseau l’idée d’honnêteté. Mademoiselle de Breuil est une jeune
femme du même age que Rousseau : il est amoureux de cette femme, et va
tout faire pour l’approcher, chose qu’il va réussir à faire très maladroitement
(il lui donne à boire et renverse tout à coté, c’est l’émotion !). Cette
femme ne va jamais faire vraiment attention à Rousseau.
Il va faire
un bilan sur sa vie : il n’a pas été heureux dans la conclusion de ces
amours. Il va aller cher un Abbé (L’abbé de Gouvon, et pas l’Abbé
Cassine !), ce dernier va lui proposer de lui donner des cours de latin.
Rousseau se dit « être destiné à rapprendre souvent le latin, et à ne
jamais le savoir ». Il va aussi apprendre l’Italien. Les progrès de
Rousseau dans ces deux domaines, vont donner satisfaction à l’Abbé. Il va
ensuite rencontré des convertis (comme lui l’était), mais il ne va pas
s’entendre avec eux, hormis Mussard et Bâcle. Rousseau et Bâcle ne vont plus se
quitter, hormis au moment ou Bâcle va retourner à Genève. Bâcle est un garçon
amusant, gai.
Rousseau va
alors tout abandonner : ces études, son protecteur, son percepteur, et va
commencer la vie d’un vrai vagabond. Il part « le cœur saturé de
joie », avec son ami Bâcle ( qui n’est pas encore parti pour Genève). Ils
ont avec eux « une fontaine de Héron ». Ils sont heureux de voyager,
et vont arriver à Chambéri (et non Chambéry, comme actuellement). Rousseau se
lasse de la présence de Bâcle à ses côtés, car il veut aller retrouver
Mademoiselle de Warens. Bâcle va donc laisser Rousseau à Annecy.
Rousseau va
aller voir cette Mademoiselle de Warens, il est heureux car cette femme va
l’héberger. Cette femme vit dans une vieille maison, elle ne possède pas de vaisselle
d’argent, ni de vin, mais juste « des tasses de faïences qui faisaient du
bon café. »
Rousseau va
surnommer cette femme « Maman », et cette demoiselle va surnommer
Rousseau « Petit ».
Il va alors
repartir en Italie, et cette femme est pour lui « la seule femme au
monde ». Il va alors s’occuper de divers activités : rédiger ces
mémoires, trier des herbes, piller (écraser) des drogues ; il dit avoir
perdu de sa passion pour la lecture.
« On
dirait que mon cœur et mon esprit n’appartiennent pas au même individu »
« Au
lieu de me taire, quand je n’ai rien à dire, j’ai la fureur de vouloir
parler »
Mademoiselle
de Warens veut faire inscrire Rousseau au séminaire durant quelques temps.
C’est monsieur Gros qui va se charger de cela ; mais Rousseau ne va pas
aimer celui qui va lui enseigner le latin, M Gros décide donc de lui changer
d’éducateur, c’est le jeune Abbé Faucigneron (M. Gâtire) qui va se charger de
cette tâche. Rousseau va bien s’entendre avec cette Abbé » (il dit
même : « ce n’était pas difficile en comparaison avec
l’autre. »), mais cette Abbé qui va devenir Vicaire va avoir un
enfant ; cette pratique étant prohibé par l’Eglise, il sera emprisonné.
Rousseau est
donc au séminaire, il peut sortir une fois par semaine (il va chez Maman).
Rousseau va
raconter une anecdote : « Un de ces jours de permission il va se
rendre chez Maman. Juste à côté de la maison de cette femme, se trouve celle
des Cordeliers. Or cette maison va prendre feu, et les flammes se dirigent vers
la maison de « Maman », tout va être fait pour combattre l’incendie.
L ‘Evêque est venu et entame une prière, à ce moment là le vent va
tourner, et la maison sera épargné. »
Il va partir
de Turin, pour aller vivre à Annecy, mais il est toujours attaché à cette femme
(mon attachement pour elle est devenu ma seul passion ).
Un jour, il
va aller chez cette femme, et va rencontrer Monsieur Le Maître ; cet homme
aime la musique, le vin, il est très sobre. « Maman » l’appelle
« mon petit chat ». M Le Maître va vouloir partir, et Maman va faire
tous son possible pour l’aider dans son voyage « elle prit le parti de
l’aider en tout ce qui dépendait d’elle »
Il vont
passer ensemble 4 ou 5 jours à Belley pour Pâques, puis vont aller à Lyon.
Rousseau
repart à Annecy, mais à son retour, il ne trouve pas « Maman » :
elle est parti pour Paris !