Auteur : ROUSSEAU Jean Jacques

Titre de l’œuvre : « Les confessions »

Titre du recueil :  « Livre II»

 

Résumé de l’œuvre

Par : epix75@hotmail.com

 

Introduction : La première phrase est « Le projet de fuir me parut triste, mais celui de l’exécutait me paru charmant », belle phrase philosophique qui signifie qu’il  est triste de partir, mais que le fait de fuir lui parait très charment. Il va aller habiter quelques temps chez des paysans, puis va ensuite voyager ( il va beaucoup voyager au fi de sa vie). Il va rencontrer un Curé : Monsieur de Pontaverre ; Rousseau dit que c’est un homme « peu vertueux », il ne savait que dire le rosaire (10 prières que l’on récite à la suite). M de Pontaverre dit à Rousseau que Dieu l’appelle, et qu’il doit se rendre à Annecy (il faut comprendre par « Dieu l’appelle » , le fait que Rousseau doit apprendre une religion.). Il a maintenant 16,5 ans, il est de petite taille, avec de joli pieds, la jambe fine, l’air dégagé, la physionomie animé, la bouche mignonne, les sourcils et les cheveux noirs, avec des petits yeux qui s’enfonçaient. On se situe à l’époque des Rameaux en 1728.

Il va rencontré Mademoiselle de Warens : elle a le visage « pétri de Grâce », de beaux yeux pleins de douceur et le teint éblouissant. Elle a 28 ans, et elle est très jolie, elle à le regard doux, le sourire angélique, elle à comme Rousseau perdu sa mère dès sa naissance. Rousseau l’a décrit d’une façon très méliorative. Cette femme va lui inspirer confiance. Pour elle, il va refuser de retourner à Genève car « l’éloignement créerait inévitablement une barrière presque infranchissable ». Il va aller à Turin (en Italie) pour y recevoir l’instruction des catéchumènes afin d’avoir la vie temporelle et spirituelle jusqu’à ce qu’il entre dans l’Eglise (communauté de tous les Chrétiens). Lors de son départ d’Annecy son père va venir le voir, ce dernier s’est remarié avec une femme plus âgé que lui, car "elle n’était plus en âge de donner des frères à Rousseau.. »

Rousseau va nous citer une de ces maximes : « Il faut éviter les situations qui mettent nos devoirs en oppositions avec nos intérêts et qui nous montre notre bien avec le mal d’autrui. »

Il est heureux de voyager , il dit même être dans « la plus heureuse situation de corps et d’esprit de sa vie . » Le fait d’aller à son âge visiter Turin est pour lui une gloire. Durant les 6 jours de voyages il n’aura aucun soucis. Il va arriver à Turin, sans habits, sans argent, sans linge ; il va être mené à l’hospice des catéchumènes (ceux qui apprennent une religion).

            Rousseau reconnaît avoir eut une éducation « saine et raisonnable ».

Il va nous donner son point de vue sur la religion : « Il ne faut pas parler aux enfants de religion, si on désire qu’un jour ils en aient une. »

Il se demande pourquoi Dieux l’a fait si faible.

Dieu va lui répondre : « Je t’ai fait trop faible pour sortir du gouffre, parce que je t’ai fait assez fort pour ne pas y tomber. »

Il va réfléchir sur la question de devenir ou non catholique, car il n’a pas fait sa première communion. Un prêtre va lui enseigner la religion ; hélas Rousseau ne s’entends pas avec ce prêtre. Il va se faire baptiser (ou du moins être acteur dans une cérémonie de ce genre) à l’Eglise Métropolitaine de Saint Jean pour y faire une Abjuration solennelle. Il dit que cette cérémonie avait été faite pour « rendre la solennité plus édifiante pour le public, et plus humiliante pour lui ». Il juge la cérémonie très impressionnante pour les spectateurs et très humiliantes pour les acteurs. On va lui recommandé de vivre en bon Chrétien.

Avec 20 francs (anciens, ce qui doit faire 2000Francs actuelle, c’était relativement beaucoup en 1730), il va découvrir librement la ville. Il décide de trouver du travail, c’est sans succès.

Il va évoquer un de ces défauts « Il aime trop sincèrement, trop parfaitement pour pouvoir aisément être heureux », de plus il est timide. »

« C’est toujours un mauvais moyen de lire dans le cœur des autres, que d’affecter de cacher le sien . »

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