L’humanisme : L’utopie (Thomas More), et « Traité sur la tolérance » (Voltaire)

 

Type de commentaire : Linéaire et par thèmes

Par : epix75@hotmail.com

 

Introduction : L’humanisme place l’homme au centre du Monde. Il y a une ouverture vers le monde. L’humanisme et la Renaissance sont deux périodes qui ont coicidés ensembles. L’utopie signifie « qui n’existe en aucun lieu, c’est une société idéale, mais inconcevable ».

 

« L’utopie » de Thomas More en 1516

Il décrète la liberté de religion, il autorise le prosélytisme, mais avec un certain raisonnement : il est contre l’intolérance et le fanatisme. Utopus est quelqu’un de croyant.

Il fait confiance à Dieu, au temps, et aux hommes. Il ne tolère pas les athées (non croyants). Il pense qu’il y a une vie parés la mort.

Orthodoxe signifie : conforme à la religion.

Un athée  n’est ni un homme, ni un citoyen, car il devient dangereux pour les institutions (ce sont des matérialistes).

 

 

« Traité sur la tolérance » de Voltaire en 1763

Voltaire va défendre Callas, un homme qui aurait du être tué. Voltaire va défendre la tolérance religieuse, il était déiste (il croît qu’un Dieu à créer le monde, mais qu’il ne faut pas lui vouer un culte ).

Ce texte est à la fois une prière à Dieu, et un discours adressé aux hommes.

L’exode est le début d’un discours, et une poraison conclut le texte. Un traité est adressé aux hommes, mais ici Dieux est aussi le récepteur de cette prière : « C’est à toi » qui est à la forme tonique, qui a un pouvoir « amplificateur ».

« S’il est permis d’oser » est un style utilisé pour ne pas bléser l’autre, ceci est appelé « précaution oratoire ». Il y a une antithèse entre les hommes et Dieu. Les hommes ne doivent pas se croient tout permis, mais au contraire « être humbles ».

« immuable comme éternel » est appeler une « redondance ».

L’impératif et le subjonctif, sont deux temps qui sont utilisés dans les prières.

L’appel à la commisération et la compassion , font parti intégrante du vocabulaire de la prière.

L’adjectif possessif « nos », permet « d’englober » toute une catégorie de personnes.

Il y a dans ce texte une vision pessimiste de l’homme (aidons, fardeau, une pénible, débiles corps, usage ridicule, opinions insensés), il y a une accumulation qui tend à montrer le côté « mesquin et ridicule » de l’homme.

Voltaire est contre la superstition (notamment avec le culte des cierges). Il y a une opposition entre le « noir » et le « blanc » qui sont les couleurs portés respectivement par le pasteur et le prêtre, mais pourtant toutes les religions se rattachent à un même Dieu. On a ici une caricature des mœurs religieux de la part de Voltaire.

Il pense même que les prêtres ont trop de pouvoir (phrase très « lourde » avec des subordonnées « lourdes »), et ont une grande richesse.

« Les richesses » sont petites par rapport au monde.

Il y a une périphrase faisant allusion à « l’or », c’est très péjoratif ; car Voltaire méprise les biens terrestres. Il pense que les représentants religieux devraient se préoccuper des affaires religieuses plutôt que des biens matériels.

 

La base de la religion est la fraternité. Le subjonctif exprime le souhait, le désir, et la prière. La fin du texte est à l’impératif, qui est le temps utilisé pour convaincre et persuader les hommes.

 

Voltaire conclut son texte sur l’idée d’universalité, la tolérance, car nous adorons tous le même Dieu, et qu’il n’y a qu’un créateur.

 

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