L’humanisme :
L’utopie (Thomas More), et « Traité sur la tolérance » (Voltaire)
Introduction : L’humanisme place l’homme au centre du Monde. Il y a une
ouverture vers le monde. L’humanisme et la Renaissance sont deux périodes qui
ont coicidés ensembles. L’utopie signifie « qui n’existe en aucun lieu,
c’est une société idéale, mais inconcevable ».
« L’utopie » de
Thomas More en 1516
Il décrète la liberté de religion,
il autorise le prosélytisme, mais avec un certain raisonnement : il est
contre l’intolérance et le fanatisme. Utopus est quelqu’un de croyant.
Il fait confiance à Dieu, au
temps, et aux hommes. Il ne tolère pas les athées (non croyants). Il pense
qu’il y a une vie parés la mort.
Orthodoxe signifie : conforme
à la religion.
Un athée n’est ni un homme, ni un citoyen, car il devient dangereux pour
les institutions (ce sont des matérialistes).
« Traité sur la
tolérance » de Voltaire en 1763
Voltaire va défendre Callas, un
homme qui aurait du être tué. Voltaire va défendre la tolérance religieuse, il
était déiste (il croît qu’un Dieu à créer le monde, mais qu’il ne faut pas lui
vouer un culte ).
Ce texte est à la fois une prière
à Dieu, et un discours adressé aux hommes.
L’exode est le début d’un
discours, et une poraison conclut le texte. Un traité est adressé aux hommes,
mais ici Dieux est aussi le récepteur de cette prière : « C’est
à toi » qui est à la forme tonique, qui a un pouvoir
« amplificateur ».
« S’il est permis
d’oser » est un style utilisé pour ne pas bléser l’autre, ceci est appelé
« précaution oratoire ». Il y a une antithèse entre les hommes et
Dieu. Les hommes ne doivent pas se croient tout permis, mais au contraire
« être humbles ».
« immuable comme
éternel » est appeler une « redondance ».
L’impératif et le subjonctif, sont
deux temps qui sont utilisés dans les prières.
L’appel à la commisération et la
compassion , font parti intégrante du vocabulaire de la prière.
L’adjectif possessif
« nos », permet « d’englober » toute une catégorie de
personnes.
Il y a dans ce texte une vision
pessimiste de l’homme (aidons, fardeau, une pénible, débiles corps, usage
ridicule, opinions insensés), il y a une accumulation qui tend à montrer le
côté « mesquin et ridicule » de l’homme.
Voltaire est contre la
superstition (notamment avec le culte des cierges). Il y a une opposition entre
le « noir » et le « blanc » qui sont les couleurs portés respectivement
par le pasteur et le prêtre, mais pourtant toutes les religions se rattachent à
un même Dieu. On a ici une caricature des mœurs religieux de la part de
Voltaire.
Il pense même que les prêtres ont
trop de pouvoir (phrase très « lourde » avec des subordonnées
« lourdes »), et ont une grande richesse.
« Les richesses » sont
petites par rapport au monde.
Il y a une périphrase faisant
allusion à « l’or », c’est très péjoratif ; car Voltaire méprise
les biens terrestres. Il pense que les représentants religieux devraient se
préoccuper des affaires religieuses plutôt que des biens matériels.
La base de la religion est la
fraternité. Le subjonctif exprime le souhait, le désir, et la prière. La fin du
texte est à l’impératif, qui est le temps utilisé pour convaincre et persuader
les hommes.
Voltaire conclut son texte sur
l’idée d’universalité, la tolérance, car nous adorons tous le même Dieu, et
qu’il n’y a qu’un créateur.