Auteur : Beaumarchais

Titre de l’œuvre : «Le mariage du Figaro »

Titre du recueil :  Acte 5, scène 3

 

Type de commentaire : Linéaire

Par : epix75@hotmail.com

 

  1. Le plan du texte :

- On est devant une cérémonie, un homme nommé Figaro  refuse qu’un Comte est une femme sous prétexte que ce n’est pas parce qu’il est Seigneur, que c’est un génie. Il n’a rien eut à faire : il est né Seigneur. Tandis que Figaro a du se battre pour exister parmis les autres (dans la foule obscure).

- Par la suite Figaro nous détaille son enfance douloureuse, et nous apprend qu’il veut être un honnête homme. Il apprend la médecine, on lui interdit de pratiquer, ; il écrit une pièce de théâtre, et involontairement celle-ci offense plusieurs pays.

Il va se lancer dans l’écriture, le journalisme : on lui interdit de publier.

Il va perdre espoir, et va arriver à penser que si personne n’a de l’estime pour lui en tant qu’honnête homme, il n’a qu’a devenir malhonnête. Il devient donc banquier de pharaon (jeu d’argent se jouant avec des cartes et reposant sur le hasard, plutôt que sur une stratégie).

Il est ruiné, et va changer totalement de vie : il devient barbier.

 

A la fin de la scène 3, Figaro se pose une série de questions, puis va énumérer sa personnalité, en racontant ce qu’il a été.

 

  1. Explication du texte

Figaro a tout fait pour réussir socialement. Ce texte est une lutte social.

[Les indication scéniques sont appelés des didascalies ].

Ce texte commence par un dépit amoureux, avec un sentiment d’injustice social. Puis les différentes professions qu’il a exercé nous sont énuméré : la médecine, le dramaturge, écrivain sur les finances (qui va le mener droit en prison !), va écrire un journal (qui ne doit parler de rien : critique de la censure de l’époque = absence de liberté).

Il s’aperçoit que dans la société corrompu dans laque il est ; qu’il est absolument impossible d’être honnête et de le rester ; il vaut donc mieux être « malhonnête ».

 

« Perfide » appartient au vocabulaire tragique, mais « benêt » en opposition, appartient au langage familier.

Le valet Figaro s’adresse à son maître avec une sorte de lutte de classe, avec une certaine ironie notamment avec le titre « Monsieur le Comte ».

 

L’expression « Tout cela rend si fier » est un reproche formulé par Figaro, est qui est adressé à son maître « Monsieur le Comte ».

 

  1. Explications détaillés

Figaro est jaloux de son maître, car il est riche, libertin et artisan. Figaro va le qualifier « d’homme ordinaire », c’est de la jalousie, car c’est faux.

« La Joute » est un combat entre chevaliers de même rang. Figaro ne va jamais se placer en dessous de son maître.

« On vient, c’est elle, ce n’est personne » : il pense que c’est Suzanne, puis va se rasseoir.

L’auteur (Beaumarchais) à écrit tous ces livres avec toujours les mêmes personnages, il y a donc une certaines évolution de ces derniers au fil des livres qu’il a écrit 5par ce qu’il est mort, à ce jour !).

Figaro à des préoccupations métaphysique : il se pose des questions sur lui. IL a toujours été honnête, il y a donc une critique de la société corrompu de l’époque.

Groupe ternaire : Chimie, pharmacie, chirurgie ; et il va devenir vétérinaire.

Le théâtre est totalement opposé au métier de vétérinaire ! La destiné de Figaro est semblable à celle de Beaumarchais.

Il y a une accumulation de mots qui nous montre « la censure » qu’il y avait à l’époque.

On a l’impression que  Figaro a envie de se tuer ; il fera d’ailleurs une tentative de suicide.

L’huissier va être caricaturer avec l’expression : « la plume fiché dans sa perruque ».

            Beaumarchais va écrire sur un sujet qu’il ignorait totalement, celui de « l’argent ».

On a une périphrase, car le château fort représente la prison ; cela montre une nouvelle fois l’absence de liberté qu’il pouvait exister à cette époque. Les censeurs (les hommes qui s’occupaient de « censurer ») sont des « armes » très basses.

Le développement de la liberté de la presse va avoir lieu au 18° siècle. Figaro peut parler « de tout » sauf de « rien », il ne peut parler de strictement rien. On remarque que les censeurs sont ici au nombre de trois : un seul aurait largement suffit !

« Le calculateur » et « le danseur » sont deux professions totalement opposés.

Figaro est dégoûté de tout, et va donc décider de devenir malhonnête, malgré toute la bonne volonté qu’il a mis pour ne pas le devenir.

Rousseau pensait que « L’homme était bon par nature, mais que c’est la société qui l’a corrompu » .

On se rend bien compte qu’il s’agit d’une pièce de théâtre, car l’auteur interpelle le publique  « Bonne gens.. », cela donne de la vie à la pièce.

Figaro voulait « voler les gens », mais il se « fait voler » par des gens, qu’il qualifie de « comme il faut ».

Il est toujours en marge de cette société, et va même penser à se suicider, tellement son désespoir est profond.

 

 

Ce texte est plus récent que « Candide » de Voltaire ; et il comporte des idées pré-révolutionnaires. Il y a dans ce texte une critique de la « Bourgeoisie » , de la « Noblesse « , qui viennent tous deux complémenter l’œuvre « Voltaire ».

 

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