Auteur :
Beaumarchais
Titre de l’œuvre :
«Le mariage du Figaro »
Titre du recueil :
Acte 5, scène 3
- On est
devant une cérémonie, un homme nommé Figaro
refuse qu’un Comte est une femme sous prétexte que ce n’est pas parce
qu’il est Seigneur, que c’est un génie. Il n’a rien eut à faire : il est
né Seigneur. Tandis que Figaro a du se battre pour exister parmis les autres
(dans la foule obscure).
- Par
la suite Figaro nous détaille son enfance douloureuse, et nous apprend qu’il
veut être un honnête homme. Il apprend la médecine, on lui interdit de
pratiquer, ; il écrit une pièce de théâtre, et involontairement celle-ci
offense plusieurs pays.
Il va
se lancer dans l’écriture, le journalisme : on lui interdit de publier.
Il va
perdre espoir, et va arriver à penser que si personne n’a de l’estime pour lui
en tant qu’honnête homme, il n’a qu’a devenir malhonnête. Il devient donc
banquier de pharaon (jeu d’argent se jouant avec des cartes et reposant sur le
hasard, plutôt que sur une stratégie).
Il est
ruiné, et va changer totalement de vie : il devient barbier.
A la
fin de la scène 3, Figaro se pose une série de questions, puis va énumérer sa
personnalité, en racontant ce qu’il a été.
Figaro
a tout fait pour réussir socialement. Ce texte est une lutte social.
[Les
indication scéniques sont appelés des didascalies ].
Ce
texte commence par un dépit amoureux, avec un sentiment d’injustice social.
Puis les différentes professions qu’il a exercé nous sont énuméré : la
médecine, le dramaturge, écrivain sur les finances (qui va le mener droit en
prison !), va écrire un journal (qui ne doit parler de rien :
critique de la censure de l’époque = absence de liberté).
Il
s’aperçoit que dans la société corrompu dans laque il est ; qu’il est
absolument impossible d’être honnête et de le rester ; il vaut donc mieux
être « malhonnête ».
« Perfide »
appartient au vocabulaire tragique, mais « benêt » en opposition,
appartient au langage familier.
Le
valet Figaro s’adresse à son maître avec une sorte de lutte de classe, avec une
certaine ironie notamment avec le titre « Monsieur le Comte ».
L’expression
« Tout cela rend si fier » est un reproche formulé par Figaro,
est qui est adressé à son maître « Monsieur le Comte ».
Figaro
est jaloux de son maître, car il est riche, libertin et artisan. Figaro va le
qualifier « d’homme ordinaire », c’est de la jalousie, car c’est
faux.
« La
Joute » est un combat entre chevaliers de même rang. Figaro ne va jamais
se placer en dessous de son maître.
« On
vient, c’est elle, ce n’est personne » : il pense que c’est Suzanne,
puis va se rasseoir.
L’auteur
(Beaumarchais) à écrit tous ces livres avec toujours les mêmes personnages, il
y a donc une certaines évolution de ces derniers au fil des livres qu’il a
écrit 5par ce qu’il est mort, à ce jour !).
Figaro
à des préoccupations métaphysique : il se pose des questions sur lui. IL a
toujours été honnête, il y a donc une critique de la société corrompu de
l’époque.
Groupe
ternaire : Chimie, pharmacie, chirurgie ; et il va devenir
vétérinaire.
Le
théâtre est totalement opposé au métier de vétérinaire ! La destiné de
Figaro est semblable à celle de Beaumarchais.
Il y a
une accumulation de mots qui nous montre « la censure » qu’il y avait
à l’époque.
On a
l’impression que Figaro a envie de se
tuer ; il fera d’ailleurs une tentative de suicide.
L’huissier
va être caricaturer avec l’expression : « la plume fiché dans sa
perruque ».
Beaumarchais va écrire sur un sujet
qu’il ignorait totalement, celui de « l’argent ».
On a
une périphrase, car le château fort représente la prison ; cela montre une
nouvelle fois l’absence de liberté qu’il pouvait exister à cette époque. Les
censeurs (les hommes qui s’occupaient de « censurer ») sont des
« armes » très basses.
Le
développement de la liberté de la presse va avoir lieu au 18° siècle. Figaro
peut parler « de tout » sauf de « rien », il ne peut parler
de strictement rien. On remarque que les censeurs sont ici au nombre de
trois : un seul aurait largement suffit !
« Le
calculateur » et « le danseur » sont deux professions totalement
opposés.
Figaro
est dégoûté de tout, et va donc décider de devenir malhonnête, malgré toute la
bonne volonté qu’il a mis pour ne pas le devenir.
Rousseau
pensait que « L’homme était bon par nature, mais que c’est la société qui
l’a corrompu » .
On se
rend bien compte qu’il s’agit d’une pièce de théâtre, car l’auteur interpelle
le publique « Bonne gens.. »,
cela donne de la vie à la pièce.
Figaro
voulait « voler les gens », mais il se « fait voler » par
des gens, qu’il qualifie de « comme il faut ».
Il est
toujours en marge de cette société, et va même penser à se suicider, tellement
son désespoir est profond.
Ce
texte est plus récent que « Candide » de Voltaire ; et il
comporte des idées pré-révolutionnaires. Il y a dans ce texte une critique de
la « Bourgeoisie » , de la « Noblesse « , qui
viennent tous deux complémenter l’œuvre « Voltaire ».