Auteur : Voltaire
Titre de l’œuvre :
« Candide »
Titre du recueil :
« Candide »
Chapitre : 30
Introduction : Candide a développé sa philosophie « cultiver ,son
jardin », c’est une philosophie peu impliqué dans la société, il conçoit
un compromis avec cette philosophie. La solution est « dans la
travail » (cultiver), car c’est une tâche qui « ennoblie »
l’Homme.
« Le
travail éloigne de trois grands maux : l’ennuie, le vice, et le
besoin ».
« L’oisiveté
est mère de tous les vis » un certain homme Turc.
On
notera au passage, que notre actuel société est basé sur le travail.
Par
définition, le travail est un effort long et pénible…
Dans la
seconde partie Panglosse parle du sort malheureux des puissants (Panglos
enfonce des portes ouvertes), Panglosse ne sait faire que parler (bien souvent
pour ne rien dire).
Candide
n’était pas habitué à réfléchir, il a su écouter activement et même réfléchir.
Dans cette histoire le seul personnage qui n’a pas changé de mentalité est
« Panglosse » ; il existe par sa parole.
On a
ensuite une logoré de paroles totalement stupide (une accumulation massive) de
la part de Panglosse. Panglosse préfère « écraser » les autres par sa
parole plutôt que de leur enseigner, il n’hésite d’ailleurs pas à citer des
phrases latines pour montrer sa « pseudo – culture ». Par contre
Candide à une philosophie d’action et non de parole.
Le travail est fructueux : les
avantages du travail et les bienfaits qu’il a sur ces acteurs (les
travailleurs !), sont ici évoqués. Le travail rend à Cunégonde des
« talent de pâtissière », mais pas la beauté…
Le
travail a des vertus morales.
Panglose
va clore le conte en donnant une succession de conditions (avec
« si »), qui ont permis à Candide de devenir ce qu’il est
« aujourd’hui ». C’est totalement stupide car Candide a eu beaucoup
d’expérience, pour aboutir à une chose : « manger des
pistaches », on voit une nouvelle fois à travers cet exemple, l’illogisme
du raisonnement de Panglosse.
Candide continu à défendre sa
philosophie.
Panglosse
est doctrinaire, et comme tous les doctrinaires, il ne sortira pas de sa
doctrine.
En
« parlant beaucoup », Candide n’a pas su « séduire »
Candide.
Conclusion : On a une victoire de l’esclave (incarné par Candide) sur
le maître (incarné par Panglosse).