Auteur : Voltaire

Titre de l’œuvre : « Candide »

Titre du recueil :  « Candide »

Chapitre : 1

 

Type de commentaire : Linéaire

Par : epix75@hotmail.com

 

Introduction : Au début du récit, l’auteur nous prépare au personnage, mais pas au lieu.

On peut appeler ce lieu « Le Paradis Perdu », car c’est en quelque sorte un point de référence. Ce conte est initiatique, Candide va se forger un opinion, une certaine philosophie au cours de l’histoire.

« Il y avait » rappelle la formule communément utilisé pour les début de conte : « Il était une fois ». On est dans le château du Baron, on va s’apercevoir rapidement d’une chose : celle de la mise en valeur du baron. D’une part par le titre dont il est qualifie : « Monsieur le Baron », puis Voltaire va utiliser des « Noms-portraits », les personnages peuvent ainsi êtres considérés comme des marionnettes.

L’interprétation direct que l’on peut donner, et que voltaire à voulu faire passer, est la « Critique de la noblesse ».

« Candide » est décrit comme un jeune garçon, avec l’emploi du superlatif, il est innocent est doux. La Candeur signifie : l’innocence.

La phrase : « Sa physionomie annonçait son âme » signifie que lorsqu’on le regarde on à l’impression de quelqu’un d’innocent, mais il l’est réellement. C’est un personnage honnête sous l’empire de son être. On ne sait pas si Candide s’appelle ainsi, à cause du fait qu’il soit innocent ; ou si il est innocent à cause du fait qu’il s’appelle Candide. En réalité Voltaire ne sait pas si Candide est le prénom, ou le surnom du héros ! La critique de la noblesse va de nouveau réapparaître, avec comme base le fait que cette catégorie sociale, n’a d’importance qu’au « superficiel », qu’au « apparence ». Les « nobles » sont attachés à « leur arbre généalogique » pour prouver qu’ils ont une filiation avec tel ou tel personne.

Le ridicule est aussi bien présent au sein de ce texte : « que 71 générations de descendances », Candide n’a pu se marier avec une femme sous prétexte qu’on était dans l’incapacité de prouver qu’il avait plus de « 71 quartiers » de descendances dans son arbre généalogique : c’est très matérialiste, donc critique de la Noblesse.

Les autres personnages, vont eux aussi êtres brièvement passés en revue. Puis on reparle du « Baron », et on donne des explications sur ce dernier : « son château «  est tous ce qu’il y a de plus ordinaire, il possède « une seule (et unique…) tapisserie », c’est totalement ridicule. Tout est fondée sur le superficiel.

Quand à Madame la Baronne, cette dernière est uniquement considéré que par son poids (à l’époque de l’histoire les noble mangeaient beaucoup, car ils avaient de l’argent , et par voie de conséquence étaient « assez bien portants »). Cunégonde est décrite comme un « morceau de viande », ou « un bien de consommation », et non comme une femme. En Grec « Cuneus », signifie « le coin à fendre… ». Pangloss va être évoqué, comme étant « l’oracle de la maison ». Par définition un oracle est une personne qui prédit l’avenir, c’est donc basés sur des bien non fondés. C’est donc un qualificatif péjoratif pour Pangloss.

Pangloss est un home qui possède un savoir, et tout au long du récit Voltaire va sans cesse le ridiculiser en utilisant des mots péjoratifs et à rallonge ; ceci dans le but de montrer que Pangloss est un savant universelle, qui n’est en réalité pas si savant que cela !

« Il n ‘y a point d ‘effet, sans cause » sort directement de la bouche de Pangloss, mais cette phrase n’a absolument rien de philosophique, bien au contraire, c’est « une vérité générale ! ».

Voltaire a employé beaucoup de superlatif (le PLUS beau château ; la MEILLEURE baronne), ceci donne un effet d’exagération.

Plus tard dans l’histoire ce château sera appelé « le paradis perdu de Candide »

 

Conclusion : Les deux grandes idées : Critique de la noblesse, et critique de la philosophie optimiste.

 

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